Philippe Sollers

Publié le par Jean Christophe Bataille

 

 
 

 

 
 

Philippe Sollers cuisine les lettres avec un certain art en épiçant les mots. Mais qu'on le lise ou qu'on l'écoute, il touille une soupe bien indigeste. Maoïste en soixante huit, opportuniste aujourd'hui, que dire de sa littérature ? Une bêtise joliment faite par un type qui fait référence à Nietzsche et à Spinoza tout en encensant l'affameur du Grand Bond ...
 
 

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Publié dans La question du jour

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E
Je ne suis pas d'accord avec vos commentaires. je trouve au contraire l'écriture de Sollers très poétique. Comme celle de Ponge par ailleurs. Je suis moins sensible à Kristeva... plus universitaire et hors de ma portée. Je trouve ça un peu curieux de commencer à faire un blog sur un écrivain que vous n'aimez pas en commençant par écrire que sa littérature est "bête"...
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P
L'oeuvre des auteurs importants est parfois apparue indigeste et incompréhensible aux yeux de leurs contemporains. Lisez l'histoire de la littérature si vous en doutez. Il est vrai que Sollers est un "bon client" dans les médias mais il considère lui-même son image comme un "cadavre" (c'est son mot). Laissez le temps agir au lieu d'aboyer bêtement.
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J
> Sollers. Sors du corps de Saitek !
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S
C'est à se demander ce que vous lisez ? et les tronches que vous avez ?
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S
Il n'a pas l'air très frais sur la photo, enfin j'dis ça, j'dis rien...
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