Philippe Sollers
Philippe Sollers cuisine les lettres avec un certain art en épiçant les mots. Mais qu'on le lise ou qu'on l'écoute, il touille une soupe bien indigeste. Maoïste en soixante huit, opportuniste aujourd'hui, que dire de sa littérature ? Une bêtise joliment faite par un type qui fait référence à Nietzsche et à Spinoza tout en encensant l'affameur du Grand Bond ...